Une main dedans, une main ballant
Sur la colline, Il la regarde, de cet air nonchalant.
Rythme un coup, deux coups.La petite fille ouvre alors une porte pour se glisser
En haut de l'escalier, elle s'arrêtera peut-être,
pour, de ses petites mains caresser son oreiller.
Pour faire taire le grondement des talons qui dansent avec le diable.
Les fous se tiennent par la main , font une ronde , impénitents.
Là haut, à tous les étages les médecins de l'enfer sondent de leur stéthoscope
Le ventre et les intestins de la maison indigne.
L'enfant déambule sur la rapsodie de Mozart,
Psalmodie des hurlements et des rafales de mitraillettes. Cette nuit n'a pas de fin
Que l'embrasement du clair obscur
Rouge fantasque sur le mur;