25/07/2008

Lekture

La langue en cas. C'est bien d'une langue introductive qui s'agite et se rectifie en position de tiraillement sur laquelle je m'interroge ; car la lekture bute et s'impose en visuel vers un embranchement des sens; La langue s'humidifie et devient glaise puis se moule au signer de l'en-k. La trajectoire appelle un sens au moins, celui de l'arraisonnement. L'ouïe trébuche, lecture ou lekture? Il faudrait alors s'envoler sur la lettre, la faire sauter au trampoline de l'essence du son. Je me passe ainsi à la question de la lénifiante parole d'une l-e-c-k-ture syncopée. Décidément, les langues fourchent en diable, au style aural de la rature, lit et rature; je baisse tous les sons, les contiens en réduction et la prononce sur ta langue, à côté de la mienne, en imposition des mains... la le ... c... k.... ture s'écarte en k. On aura compris l'en-je.